Renouvelez l’expérience entre le jouet vainqueur (par exemple) et un morceau de fromage (plus appétent qu’un simple biscuit). Résultat ? Le fromage l’emporte. Serait-ce encore le cas si vous utilisez un « pouic » (un jouet qui fait « pouic » quand on appuie dessus) ? En quelques tests simples à réaliser, vous aurez une idée précise de l’ordre des préférences de votre toutou.
Ce qui peut s’avérer utile si, en promenade, votre chien tombe sur un « reste alimentaire » : une simple balle en caoutchouc sera-t-elle suffisamment motivante pour le faire revenir (oui, je sais, il revient avant tout pour vous, son maître adoré, mais un peu d’aide ne peut pas faire de mal, non ?) ; et si vous inversez, il a trouvé une vieille balle de tennis et vous lui proposez une friandise. Croyez-moi, mieux vaut savoir à quoi s’en tenir avant d’en arriver à de telles situations. D'où l’utilité du jeu dans l’éducation de base !
Si vous souhaitez, comme une majorité de propriétaires de chiens, faire éduquer votre chien sur une base sérieuse mais agréable (sérieuse n’étant pas synonyme d’ennui), je vous conseille de tester l’éducateur que vous avez contacté avant de vous engager.
Il est possible de rechercher un membre du MFEC (Mouvement français des éducateurs canins), leur code de déontologie précise qu’ils utilisent au maximum les méthodes positives. L’important étant les résultats, bien sûr.